Séraphïta a immédiatement attiré mon attention lors d’un concours de Drag Queens à Paris.
J’ai tout de suite su que je voulais mettre en scène son personnage énigmatique.
C’était une expérience incroyable de travailler avec un artiste à l’univers singulier, qui s’est rendu disponible tout au long du processus de création de ce projet et me donna l’opportunité de dépeindre parfaitement ce personnage de divinité non genré.
Je voulais également montrer que les ténèbres peuvent venir de la lumière, et ne pas toujours être ce que l’on croit.
L’introduction de ce film est inspirée des vieux films d’horreur des années 30 en noir et blanc, avec des lumières marquées, des visages déformés, et des sons intenses, créant alors une atmosphère effrayante.